Disposer de plusieurs aires protégées à Madagascar afin de séduire les touristes et pour garantir la vénusté de l’île est un avantage pour tous les citoyens malgaches. Afin de préserver la longévité de la biodiversité à Madagascar, il faut que tout le monde mette leurs efforts sur un point commun: faire de Madagascar un lieu touristique.
Protéger la nature et en faire profiter la population
Suite à la réunion à Durban en 2003, les surfaces des aires protégées à Madagascar devaient accroître jusqu’à 6 millions d’hectares et le million d’hectares de celle-ci est destiné à l’écosystème marin et humide.
Le but de cette réunion était de mieux protéger davantage la biodiversité, mais aussi d’assurer le suivi de l’exploitation des ressources telles que l’exploitation minière, pêche, environnement, et touristique.

Le projet de fondation de l’aire protégée marine (APM) de Nosy Ve-Androka a été établi en 2007. L’établissement de nombreux APM est devenu un besoin vu la recrudescence des conséquences négatives socio-économiques, en guise d’exemple, le gisement de pétrole qui peut infecter les revenus des pêcheurs artisanaux en portant des dommages irrévocables aux écosystèmes marins.

Préservation de l’écosystème marin
Suite à la 6e réunion mondiale des parcs qui a eu lieu en Australie en 2014, le taux d’augmentation d’aires marines protégées sera de trois fois plus dans les années qui viennent. Ces propos ont été renouvelés par le ministre de l’Environnement, de l’Écologie, de la mer et des forêts à la première réunion mondiale des baleines à bosse, qui s’est déroulée dernièrement à l’île Sainte-Marie.

Tous les concernés devront donc envisager de déterminer un plan d’action pour la réalisation d’un projet similaire afin que l’augmentation des aires protégées à Madagascar soit avantageuse.